À les en croire, « L’indignation fédérale, suscitée par cet acte de profanation de ce haut lieu de mémoire, a regroupé Africains, Afro-descendants, universitaires, acteurs culturels, membres de la société civile, travailleurs et citoyens simples, dans le collectif international « Non à une place de l’Europe à Gorée », relève le collectif, dans un communiqué exploité par le quotidien Les Echos.
Rien selon eux ne justifie ce qu’ils considèrent comme une insulte. « La pauvreté de la commune de Gorée ne peut pas justifier cette profanation. Aucune stratégie de captation de 100 millions de l’Ue ne peut justifier que Gorée soit souillée par cette place attribuée à nos oppresseurs d’hier et d’aujourd’hui », regrette le collectif.