Dans un communiqué parvenu chez nos confrères de WalfQuotidien, le ministre des affaires étrangères a tenu à préciser qu’Ousmane Seck, condamné à mort et fusillé ce vendredi 12 en Indonésie, détenait un faux passeport. “Il se trouve que l’un de ces nationaux nigérian était détenteur, à son entrée sur le territoire indonésien, d’un faux passeport sénégalais sur lequel est mentionné le nom Seck Ousmane“, révèle Mr Mankeur Ndiaye.
Poursuivant son argumentaire, le ministre des affaires étrangères de préciser que le jeudi 26 mars 2015, l’ambassadeur du Japon a rencontré le prisonnier qui avouait qu’il n’était pas sénégalais et que son passeport était un faux. Aussi, le nigérian n’avait rien fait pour empêcher la venu de l’ambassadeur en prison, car il espérait que l’autorité pouvait l’aider à entrer en contacte avec celles de son pays d’origine. Ainsi, “Seck Ousmane” s’appellerait plutôt Cajethan Uchennma Onyenworo, né le 16 Avril 1973 à Uli, au Nigéria.