Si le phénomène de l’homosexualité a pris une ampleur jusque-là inconnue du grand public au Sénégal, c’est grâce à la promotion faite par des organisations tapies dans l’ombre qui reçoivent des financements de leurs partenaires établis depuis l’étranger en particulier en France et surtout en Belgique. Ces ong n’hésitent pas à casser leur tirelire pour payer la presse pour leur communication. Il s’agit principalement de deux ongs identifiées dont nous préférons taire les noms.
Le dernier coup de filet de la police sénégalaise, pour arrêter des homosexuels réunis au Lycée Ibrahima Diouf, au quartier Bongré qui scellaient un mariage, traduit la percée audacieuse de cette pratique. Mais, derrière cette arrestation et sa vaste médiatisation, ce sont ces ongs connues financées pour faire la promotion du mariage pour tous et des pratiques homosexuelles au Sénégal, aussi chez les hommes que chez les femmes, qui vont en tirer bénéfice. En effet, devant leurs partenaires, les responsables de ces ong vont défendre leur bilan à savoir qu’ils ont réussi leur mission d’avoir permettre des mariages de couples homosexuels au sein de la société sénégalaise mais que les autorités s’y sont opposées. En réalité, leur mission est de travailler pour l’acceptation du mariage pour tous, de fait pour la libération des mœurs à tire-larigot chez les jeunes. Un vrai scandale.
Les valeurs religieuses et sociales tant vantées, résisteront-elles au travail de fond et à l’activisme homosexuel mené par ces ongs basées au Sénégal considérées comme « sataniques » et surfinancées pour transgresser le socle d’une société. La non maîtrise des sources de financement de certaines Organisations Non Gouvernementales (Ong) par l’Etat sénégalais pose problème. A noter qu’au Sénégal, l’homosexualité pénalement réprimée en tant qu’attentat aux mœurs est qualifiée juridiquement d’acte impudique ou contre-nature.
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