L’encouragement à la dégradation des mœurs a atteint son paroxysme avec Macky Sall.
Nos chefs religieux et coutumiers, auprès de qui nous puisons notre moralité, n’ont pas le droit de ne pas condamner le mensonge. La religion et la tradition exigent aux référentiels qu’ils sont pour nous de dire la vérité, quoi qu’elle leur coûtera !
Le reniement de la réduction de son mandat, reste un parjure. Rien n’empêche à Macky Sall d’honorer sa parole. Mais la dignité qu’il fallait pour s’appliquer son engagement lui a fait défaut. Un homme qui n’a pas de parole ne mérite pas de prières, ni de louanges.
Dès lors nous attendons des chefs religieux et coutumiers davantage de sermons sur les vertus de la vérité et sur les conséquences perverses de la supercherie.
Je réduirai mon mandat de sept à cinq ans, disait Macky ; pour après se réfugier derrière l’avis, converti en décision, de ses subordonnés juristes. Il nous prend pour ce que nous ne sommes pas !
Dites moi quelle jeunesse tu as, je te dirai quel dirigeant tu auras ! disait l’autre.
Devrons-nous continuer à confier la destiné de notre jeunesse à quelqu’un qui est devenu la risée de tous ses homologues chefs d’états, par ce qu’il n’est pas capable de tenir sa parole ?
Il ne peut pas avoir fait ce qu’il a fait et nous interdire de le dire !
Il a abusé du peuple sénégalais, en faisant croire qu’il réduira son mandat.
Son mandat de 5 ans est arrivé à terme. Tout ce qu’il fait n’est plus légitime ! Tout ce qu’il dit n’est plus vertueux ! Doit-on le laisser usurper une fonction qu’on ne lui reconnait plus ?
Il nous faut un homme d’honneur, pour réparer le mal que Macky a infligé au peuple sénégalais. Mais il faut être prêt à payer le prix.
Citoyen sénégalais de Belgique.