L’Ambassadeur de France au Sénégal, Christophe Bigot, a présidé aujourd’hui, la 7e édition de la session annuelle de formation en Droit international des Droits de l’Homme, en présence du secrétaire général du ministère de la Justice, Cheikh Tidiane DIALLO et de la directrice pour l’Afrique de l’Ouest de la Fondation Friedrich Nuamann pour la liberté, Inge Herbert.
L’Ambassadeur s’est exprimé sur la question de l’équilibre entre respect des Droits de l’Homme et lutte contre le Terrorisme. Il a déclaré que « Le terrorisme à l’évidence menace les droits les plus sacrés ; le droit à la vie, le droit à la sécurité, à la propriété… Leur objectif est de détruire l’État de Droit qu’ils abhorrent en provoquant des tensions et des radicalités au sein de nos sociétés. Faire fi des Droits de l’Homme pour combattre le terrorisme serait tomber dans le piège qu’ils nous tendent. Chaque État doit trouver le juste équilibre entre Droits de l’Homme et nécessité de protection, chaque État doit décider où il place le curseur en fonction de ses propres impératifs, mais le plus important c’est qu’il le fasse dans le respect de l’État de Droit en garantissant par exemple le recours à un juge.
L’Ambassadeur s’est exprimé sur la question de l’équilibre entre respect des Droits de l’Homme et lutte contre le Terrorisme. Il a déclaré que « Le terrorisme à l’évidence menace les droits les plus sacrés ; le droit à la vie, le droit à la sécurité, à la propriété… Leur objectif est de détruire l’État de Droit qu’ils abhorrent en provoquant des tensions et des radicalités au sein de nos sociétés. Faire fi des Droits de l’Homme pour combattre le terrorisme serait tomber dans le piège qu’ils nous tendent. Chaque Etat doit trouver le juste équilibre entre Droits de l’Homme et nécessité de protection, chaque Etat doit décider où il place le curseur en fonction de ses propres impératifs, mais le plus important c’est qu’il le fasse dans le respect de l’Etat de Droit en garantissant par exemple le recours à un juge.
WABITIMREW