Au pays de Mattéo Renzi, les étrangers sont soumis à une taxe imposée par l’Etat avant la délivrance de tout permis de séjour. Et ceci depuis prés de cinq années. La moitié de cet argent en réalité sert surtout à financer les expulsions et autres rapatriements des clandestins.Trouvant ces textes illégales, les syndicats avaient introduit un recours au niveau de la Cour de justice européenne. Il s’agit d’Institut National Confédéral d’Assistance (INCA) et de la Confédération Générale Italienne des Travailleurs(CGIL). La justice a rendu, il y a 6 mois, la décision que ces taxes de séjour de 200 euros imposées aux étrangers sont illégales. Et pourtant, le gouvernement italien refuse le fait accompli et continue de sucer injustement les émigrés qui représentent au 1er janvier 2016, 5.054.000 soit 8,3% de la population résidente totale.
Seydou Nourou Ba